Sélectionner une page

À l’instar des entreprises, les ménages essayent aussi d’apporter leur contribution pour la lutte contre la pollution. Après le Do-It-Yourself, les jardins écologiques ont également vu le jour. C’est un concept qui est déjà adopté par plusieurs personnes. Désirez-vous savoir comment incorporer l’écologie au jardinage ? Voici l’essentiel à retenir dans ce guide.

Fabriquez du compost avec des objets recyclés

Le compost est une sorte d’engrais qui est généralement utilisée dans le jardinage. Il contribue à la fertilité du sol et libère les éléments nutritifs de ce dernier. Pour en savoir plus sur ses autres avantages, rendez-vous sur ce site dédié au jardinage. Vous pouvez les fabriquer vous-même avec des déchets recyclés pour économiser de l’argent.

Pour y arriver, servez-vous de mouchoirs de papier, des épluchures de fruits et de légumes, de bouts de pains secs, des fleurs fanées, etc. En présence d’eau et d’air, ces éléments se décomposent pour vous donner un engrais naturel. Si vous faites de l’élevage, vous pouvez également vous servir des fientes de vos animaux et en faire un bon amendement pour vos plantes.

Utilisez des techniques de travail du sol écologiques

Le bêchage est l’ennemi de l’écologie parce qu’elle tue une partie de la microfaune indispensable pour l’équilibre du sol. Vous devez donc utiliser une grelinette à la place de la bêche, car celle-ci permet de travailler la terre sans la retourner. Il y a également possibilité de travailler le jardin sans technique de labour.

Il suffit d’adopter la technique du paillage. Elle consiste à couvrir le sol de 4 à 5 cm de paillis. Il faut ensuite les laisser en place plusieurs mois pour qu’ils deviennent une matière organique fine.

Cette méthode a déjà fait ses preuves et réduit l’utilisation des herbicides sur le long terme. De même, vous ne serez plus obligé de désherber chaque fois votre espace vert. Pour finir, le paillis vous permet de faire moins d’arrosage et d’économiser de l’eau.

Optez pour des végétaux en adéquation à votre type de sol

Pour limiter l’utilisation de ressources extérieures comme l’engrais ou l’eau, le mieux est d’étudier votre sol. Il faut ensuite en tenir compte pour déterminer le type de jardin à faire. Si vous avez une terre sableuse ou acide, plantez des camélias, des rhododendrons ou des hortensias par exemple.

Les pins sylvestres, les charmes, les amélanchiers sont des plantes idéales pour une terre argileuse. Vous pouvez vous renseigner chez le marchand de graminées et avoir des conseils avisés. Dans votre composition, utilisez des végétaux variés, car cela confère à votre jardin une zone de friche à l’état naturel. Cela attire par ricochet des faunes auxiliaires comme les oiseaux, les insectes butineurs et bien d’autres.